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14 mai 2013 2 14 /05 /mai /2013 22:40

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En la troisième et la quatrième parties de l'ouvrage nous évoquons souvent la notion de dépassement dialectique Trinitaire, et d'ailleurs aussi celle de dépassement dialectique humain en lequel le premier s'inscrit. Il s'agit de tenter de comprendre que La Sainte Trinité ne consiste pas une simple construction conceptuelle tardive de la Révélation; elle constitue une réalité en rapport avec l'esprit du fidèle, une réalité qui s'y incarne.

 

Nous visons par cette expression une notion logique et ontologique à la fois.

 

Voici une première illustration de cette vérité foncière que nous puisons au sein de la Chaîne d'Or de Saint Thomas, en la citation de Saint Cyrille d'Alexandrie commentant la célèbre 'affirmation de Notre-Seigneur Jésus-Christ: "le Royaume de Dieu est au milieu de vous"  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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11 avril 2011 1 11 /04 /avril /2011 00:03

- Ouvrage de 488 pages,

au format 21 X 29,5

ISBN N° 978-2-9539133-0-9

prix TTC 32.50 €

-  Document PDF de 488 pages

 

-Pour la commande et l'expédition,

Prendre contact avec l'auteur. 

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25 mars 2011 5 25 /03 /mars /2011 22:21

 

 

 

 

 

   

 

Cette étude est ordonnée sous une double idée.   

La première thèse est la suivante:

 

Elle   envisage les Evangiles, tels qu'ils se donnent,  et sans leur appliquer un pré-supposé ni d'ordre scientiste, ni de nature ésotérique. Ils se présentent en eux-même comme des médiateurs matériels entre l’histoire et la philosophie.

Cette idée est conduite selon une méthode classiquement dialectique.      

La première partie de l'ouvrage (des chapitres 1 à 6)  forme donc à titre de "thèse",  une observation historique susceptible d'aboutir chez chaque lecteur, à une" intime conviction".

  

La  deuxième étape en constitue "l’antithèse". Les indices recueillis et qui viennent d'être évoqués,  devaient ensuite être confrontés  à des  experts ou des spécialistes  de l'intelligence,  à une expertise de la philosophie. Il s'agit des chapitres 7 à 12. 

Sans doute s'avère-t'il  malaisé de requérir ici une expertise exhaustive; en particulier l'auteur n'entre pas de manière spécifique dans les analyses et les perspectives de la morale,  des sciences de la matière et de la vie, ou  du langage. Il tente de ramasser ce défi, en s'en tenant à l'origine, et aux effets.

  

La   troisième partie conduit à une "synthèse"; elle tient lieu en quelque sorte  "d’interrogatoire du témoin principal": elle relate son identité, sa méthode, sa déposition. Il s'agit donc d'un questionnement exégétique et anthropologique; sa structure fait se succéder alternativement l'approche par l'exégèse, (ch.13)  puis par l'anthropologie, (ch.14) puis de nouveau par l'exégèse (ch.15), puis alternant encore au ch. 16 et 17... Simultanément, elle créée ipso facto une deuxième et nouvelle thèse qui peut se formuler comme suit  :

  

Selon cette seconde thèse, 

 

la matière littéraire des Evangiles et leur sujet lui-même visent :   Jésus,  dont le personnage s'instaure d'emblée en qualité de médiateur. Il relie en effet d'une part, un discours religieux puisé dans l'exclusive théologie biblique,  et d'autre part  le  ""Surnaturel vivant",  une sur-Réalité indépendante à la fois du cosmos,  et de la conscience humaine, et cependant vivante :  "Il est vivant le Seigneur devant qui je me tiens" (Elie)

Et cette idée est exprimée de la façon suivante :

 

L'exposé est fondé sur une synthèse mettant en résonnance l’aspect documentaire et historique des Evangiles (objet de la première partie) et l’exégèse littéraire  (ch. 13); et il passe par une autre jetant un pont entre la philosophie  (évoquée en deuxième partie) et l’anthropologie, (ch. 14) ;  et il complète par une confrontation entre l’exégèse et de nouveau l’anthropologie (ch. 15) ,  sans omettre encore un face-à-face  entre cette dernière  et l’histoire (ch. 16),  parvenant de la sorte à une dernière vérification entre l'exégèse et la philosophie.

     

La quatrième partie soumet une nouvelle "antithèse" à cette thèse : 

les chapitres suivants sont dédiés à, 

savoir:  Le 18,  l'exégèse et le champ historique  faisant écho à la première partie ;  le 19,  la confirmation anthropologique ;   le 2O,  l'exégèse et le domaine philosophique (en réplique de la deuxième  partie)  ;    le  21,  une seconde confirmation sociologique ; le 22,  l’angle anthropologique observé à l'aune de  la troisième  partie ;  et enfin  le  23,  la confirmation  de l’exégèse.  

 

La cinquième et dernière étape élabore une  syntèse de cette "seconde thèse" consacrée à JESUS, en récapitulant, chapitre par chapitre,  chacune des phases analysées sous les quatre parties de l'oeuvre: histoire, philosophie, exégèse, société.     

 

De la sorte, l'auteur a mené une enquête usant d'une méthode en harmonie avec le dépassement dialectique que suscite "l'information" créée par le Seigneur Jésus-Christ.                                                                                      

 

                                                                                                                                                 Un lecteur.

 

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25 mars 2011 5 25 /03 /mars /2011 17:47

 

                                   JESUS INCORRECT    CONTRE ENQUETE SUR LES EVANGILES  

 

 

L'IMAGE "APOLOGETIQUE":  UN DEFI  DANS UNE CULTURE PAIENNE !

                                                                   

    

 

          Le premier regard sur un phénomène conditionne toutes les déductions suivantes.

 

 

          Trois manières de considérer le phénomène de Jésus se présentent:

 

                Le regard Catholique; L'oeil scientiste et a priori antichrétien, qui affirme donner une explication exhaustive ;  L'optique sceptique, de bonne foi, qui confesse l’énigme, et suspend son jugement.   C'est à l'aune de ce constat que  j'ai voulu exposer mes constatations émerveillées,   face aux cohérences internes multi disciplinaires du phénomène du surgissement de Jésus dans l'histoire, et ceci , quelles que soient les portes d’entrées épistémologiques qu’on utilise en la matière.

 

Et en corollaire, j'ai dû dénoncer les conclusions fausses inhérentes au regard scientiste tyrannisant les méthodes de l’exégèse moderniste depuis trois siècles.  Les anti-chrétiens, les athées militants, les prosélytes de tous bords , « corpus Christi » donnent l'impression de se cantonner à puiser en ces eaux obscures. Ils renoncent à s’interroger outre mesure, sur les  assises de cette myopie scientiste elle-même,  accordant une confiance candide à l'autorité des fameux « spécialistes » protestants, catholiques, ou agnostiques.

  

Pour autant s'agit-il d'une classique "Apologétique", demanderez-vous ?

 

          C’est depuis ce point de perspective que  je récuse les accusations classiques relatives au  manque de rigueur scientifique et d'honnêteté intellectuelle contre ce genre d'appréhension.

Au préalable, et malgré une certaine exhaustivité de mon approche,  je ne me suis pas appesanti sur la philosophie du langage ,  les sciences exactes, la morale,  l’histoire de l'Eglise. Ma démarche ne procède pas à proprement parler de la nature d'une "apologétique " telle que les périodes passées ont été le témoin ,  ni d'une nouvelle entreprise de concordisme gratuit, et bien encore moins, d'une intiative de caractère fondamentaliste En s'inscrivant en faux contre l'idée convenue que, dans ses  prémices,  le phénomène était nazaréo-messianiste et, au mieux, "judéo-chrétien" au sens étroit du terme, Il s'agit plutôt de mettre au jour le point de départ du catholicisme des origines.  

 

 

              En fait un nouveau regard simple sur la Vérité :

 

             Tout d'abord,  je tâche de  me mettre à l'école réaliste,  et d'observer les conclusions données sur les origines des Evangiles dans diverses disciplines humaines et sociales;  je voudrais que les notions de rigueur, logique, bon sens, et induction ne soient pas de vains mots. C'est sur ces bases que je ré-expose en quelque sorte les prolégomènes de l'acte d'adhésion du coeur et de l'intelligence à ce phénomène que nous lègue l'histoire. 

 

                  Ensuite et en  résumé: je remarque que les documents des Evangiles possèdent une  réalité historique d'un côté, et que de l'autre, leur justification est hors du commun.  J'observe que la spiritualité chrétienne carmélitaine vérifie dans le détail,  de façon exhaustive et cohérente,  l’origine historique de la Religion du Christ,  en sa forme historique,  et dans son fond humain et social.

 

 

  Enfin,  je souligne un  "dépassement dialectique surnaturel,"  qui procède de l’ordre ontologique surnaturel, et non pas du simple raisonnement logique.  Je le qualifie de  "Dépassement dialectique Trinitaire', inséré lui même dans un  "Dépassement dialectique humain."   

 

 

Les étapes de l'ouvrage  :

      

            S'il est construit sous la forme des étapes méthodiques d’une enquête judiciaire, il repose quant au fond, sur  deux principes.

 

1.Le  premier, éternel, a trait à la  co-existence de la terre et du Ciel. Son point de départ réside dauns un événement susceptible d'une étude directe, effectuée sur le  document  "les évangiles" ,

il se refuse à  dissoudre ce document, par pétition de principe, dans  un « dit en situation »  ; il  veut  le supposer réel, malgré la toute-puissance de la pensée unique religieuse. Pensée qui se nourrit d'une double origine, d'apparence opposée, d'une face,  scientiste et de l'autre face, supra- intellectualiste. 

Et il le confronte à la possibilité d’un Ciel ;  il ouvre à ce sujet des pistes à partir de l'essentiel philsophique.

  

2.Ensuite la seconde idée,  concerne la compréhention de ce document, qui se donne comme un pont entre l’histoire et la raison. De fait, les Evangéglistes nourrissent l’ambition de former transmettre un document médiateur entre le Ciel et la terre.  

L’"information" contenue dans ce document,  est à prendre sous trois acceptions. Au sens ordinaire, c'est un message relative à une connaissance. En langage thomiste, il s'agit de l'actuation d'une puissance, muni d'une disposition nécessaire, au moyen d'un Acte créateur, et par analogie avec la théorie scientifique de "l'information". Elle est métaphysique et ontologique, spirituelle et concrète pour l'homme.  

   

3. Mais ces étapes franchies, il demeure que ce texte doit être étudié également dans son objet spirituel clairement annoncé, sans soupçonner par préalable , ses auteurs de quelconques turpitudes machiévéliques. 

   

4. Cette sagesse,  émanant de ce récit d'attestations  sur le personnage insolite de Ieschoua ha Nôtzeri" Jésus doit aussi être de nouveau passé au crible à la perspective sociale de son émergence. L'enjeu est bien le suivant: sa pertinence spirituelle résiste-t'elle à certaines explications de type sociologique?  Là encore, il a étudié trois types d'explications traditionnelles en quelque sorte, sans retenir la réduction du phénomène à son analyse psychanalytique.  

   

5. Enfin la littérature évangélique d'un côté, mais aussi de l'autre,  l’interprétation sociale de cette littérature, conduisent à mettre à jour une seconde médiation qui se conclue entre Dieu et l'humanité.  Son sujet, ontologiquement surnaturel,  en est Jésus. tel apparaît la conjugaison de son enseignement et des  conditionnements sociaux et historiques.  

 

 

En conclusion, les deux premières parties d’une part, et les deux secondes, d'autre part, tentent d'explorer les deux faces de la Transcendance et de l’immanence ,d’abord sur le plan historique et anthropologique, et dans un second temps sur un plan  littéraire, et social.  

La cinquième partie récapitule quant à elle, cette double harmonisation des deux ordres différents,  au sien du témoignage extérieur sur Jésus, puis au coeur de son enseignement.

 

 

                                                                                                                Jean CHAUDIERE 

 

 

 

 

 

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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 20:48

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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 11:38

 

 

JESUS incorrect,

 

Contre-enquête sur les Evangiles

 

 

par

Jean CHAUDIERE

 

 

 

 

 

 

A la faveur de la mondialisation,  l’ultime et actuel avatar de la modernité serait d’unifier  la pensée même.  Bien plus, son injonction de réaliser à l’infini des consensus   voudrait  nous dire singulièrement que le précepte kantien « oser penser par soi-même »  serait désormais pire qu’un archaïsme ;  il résisterait au congé non-dit que la mécanique et la science prétendent signifier  au cœur et à l’intelligence.  Dans ce contexte, quel sujet historique est-il plus incorrect aujourd’hui que celui de  Jésus ? Quelle attitude paraît-elle surtout  plus régressive qu’une adhésion non-conforme à sa personne ?  Or élucider que la raison et l’intuition  conservent  encore droit de cité  ici : voilà le défi auquel s’attaque l’auteur.  

          

Ayant compris que la foi  était non un sentiment aveugle, mais  la Porte ouvrant sur un commerce d’amitié avec Dieu, aussi concret que celui d’un enfant dans les bras de son Père, il conjugue les investigations mettant à nu la dictature relativiste de l’exégèse officielle. Il  fustige ses arguties savantes disqualifiées par une idéologie agnostique et académique ; il dénonce sa prétention de recréer dans ses  bibliothèques, une certaine histoire d’un certain Jésus, «un je ne sais quoi qui n’a aucun nom dans aucune langue».

 

Respectant les étapes d’une enquête judiciaire, il se livre à une  dissection pénétrante et méthodique, pluridisciplinaire et  globale, de l’approche des Evangiles. Son intime certitude transforme vite cette archéologie épistémologique en un plaidoyer aussi éloquent qu’implacable. Rayonnant de la contemplation objective, puisée à la source du Carmel, de la réalité transcendante de Jésus, il en dévoile en même temps, et en un  paradoxe cinglant,  toute l’humanité enracinée dans la sève la plus hébraïque, et par là, toute la vraisemblance.    

 

 

 

 

 

 

 

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