TABLE DES MATIERES
Avant propos
Première partie : UNE AFFAIRE D HEBREUX
Ou les malvenus de l’histoire officielle des évangiles, des indices de l’an 30 palestinien.
1° Ch. LE LINCEUL OU LE MYSTERE INCORRECT DE TURIN.p.8
1èresect. Le verdict de la science, p. 9
une énigme moderne, imprévisible et incommode,
2èmesect. la science contredit un faux officiel p. 15
Quand elle se mêle d’apporter un démenti subit et fortuit à un faux décrété par tous les pouvoirs depuis le 15ièmes
3èmesect. Une relique, miniature de l’énigme interdite des évangiles. p.17
2° Ch. LE FAIBLE ECHO DES CERTIFICATEURS MECONNUSp.21
1èresect. apprécier avec exactitude le poids de l’événement p.21
A.- milieu palestinien et société de l’Empire au 1ers
B.- les événements en eux-mêmes : apparition de Jésus et essor de sa communauté p.22
C.-mesurer l’impact relatif de ces événements à l’aune de la société de l’époque p.25
2èmesect. Audience précise des chroniqueurs profanesp.25
3èmesect. de l’objectivité des contemporains p.29
3° Ch. REDATER LES PAPYRUS: p.32
1ersect. Un premier papyrus frappé d’incorrection subite p.33
A.- 7 Q 5 = Mc,6,52-53
B.- Censure et dérisoires polémiques p.36
2èmesect. Un second papyrus non conforme : P 64 = MT26 p.38
A.- les découvertes du 20ièmes,
B.-sa datation avant 70,
C.-confirmation de cette réévaluation p.38
3èmesect. La résistance d’un syndicat moderniste, enjeux et défis p.44
4° Ch. LE PRODIGE DES SEMITISMES OMNIPRESENTS: p.48
1èresect. Des évangiles en hébreu p.49
A.- réactualisation surprenante d’un fait philologique occulté.
B.- son recoupement avec des découvertes historiques inattendues, p.51
C.- exemples des faits scientifiques recensés par Carmignac et Tresmontant p.55
2èmesect. le commode intégrisme «hellénistique» p.56
A.- arguments de critique théologique
B.- prétentions de réserves philologiques p.62
3èmesect. tout se passe comme si…. p.64
A.- vouloir une rédaction fidèle
B.- illustrations de cette hypothèse p.65
C.- comme si des faits étaient concernés.
D.- aucun nouveau mythe n’a été formulé dans un tel style p.68
E.- cohérence et non- concordisme
5° Ch. UN CADRE JUDEEN., p.71
1èresect. Un folklore à prétention historique dissimulerait -t il ses repères historiques ? p.71
A.- le théâtre géographique
B.- le contexte chronologique p.72
C.- le milieu sociologique
D.- la conjoncture politique et judiciaire p.74
E– le paysage liturgique
F.- les données psychologiques p.76
2èmesect. Un contour hébreu enjeu de pouvoir p.77
A.- le pouvoir religieux siège dans la loi écrite
B.- il s’étend à l’interprétation orale de la loi écrite. P.80
C–l’insertion nazaréo- chrétienne dans ce contexte p.83
irruption d’un messie
le livre vivant l’homme livre p.84
le temple vivant
3èmesect. Contre les faits : des arguties idéologiques p.88
1.- une objection de principe
2.- mise en perspective p.89
3. -pour le folklore religieux
4èmesect. Les perspectives ouvertes p.90
A.- Jésus n’est pas présenté comme un personnage de caractère gnostique ou de nature mythologique
B.- un positivisme spirituel p.93
C.- une majestueuse indifférence aux circonstances matérielles
6° Ch. DES SCRIBES A L’OMBRE DU SECOND TEMPLE p. 96
1èresect. Un silence : faits et hypothèses p.96
A.- un mutisme spectaculaire :
- face à des événements historiques
- et sur des réalités littéraires. p.98
- les hypothèses légitimes consécutives
B.- les silences insignifiants p.101
2èmesect. Calamiteuses objections p.104
A.- leurs contre-hypothèses historiques
B.- les reconstructions littéraires, p.105
C.- les textes recèleraient des indices dissimulés
3èmesect. L’Evangile : un nouveau Galilée en hagalil ? p.110
A.- tel est pris qui croyait prendre
B.- des détails inattendus osant contredire une datation tardive p.111
C.- Jésus le nouveau Temple
ou une théologie cruellement absente pour des textes de l’an 100
D.- une chronologie à coups de soufflets archéologiques p.113
7° Ch. L’ EXEMPLE DU MIRACLE : p.117
1èresect. un faisceau d’énigme récurrentes p.117
A– les guérisons inexpliquées
B.- des faveurs extraordinaires p.120
2èmesect. A la recherche du sens p.122
A.- les résistances d’ordre anthropologiques
B.- une harmonie avec la spiritualitép.123
C.- l’arrière plan de l’exégèse p.124
8° Ch. AUX RACINES DE L’ETRE: p.126
1èresect. Le monde clos des monismes :
A.- le trio infernal
B.- le matérialisme archaïque p.129
C.- l’idéalisme subjectif
D.- l’idéalisme objectif. P.131
2èmesect. L’ouverture réaliste : le dualisme hébréo- chrétien p.133
A.- les métaphysiciens hébreux ont affirmé la vérité d’un fait transcendant
B.- développement du concept de création p.135
1une originalité métaphysique dédaignée
- cette métaphysique qui n’existe pas
2Alexandrie usurpe Jérusalem et la recèle à Athènes p.137
C.- ré- hébraïsation de la nouvelle création chrétienne p.139
- de l’opposition radicale entre la Révélation et la Connaissance
- l’anthropologique hébraïque attribue une nature synthétique
- Dans la conception hellénistique la nature humaine est dualiste
3èmesect. Les idées à l’épreuve de l’expérience p.142
A.- la philosophie est-elle une science exacte ?
B.- en requérir une sentence certaine ? p.145
C.- l’histoire d’Israël atteste la théorie de la création p.148
D.- le fait de l’Eglise certifie la nouvelle création p.151
9° Ch. IDEOLOGIES RELIGIEUSES BOULEVARD SANS ISSUESp.155
1èresect. « l’action est un affaiblissement de la contemplation »
A.- le champ de la vulgate orientale
B.- son unique fleuron : Plotin, l’anti-Jésus. P.159
C.- son impasse métaphysique p.161
2èmesect. le syncrétisme politique de l’islam p.164
A.- une hypothèse métaphysique syncrétique
B.- irrationalité de cette construction. p.167
- incompatibilité supplémentaire entre ces concepts composites et les origines historiques alléguées
- irrationalité intrinsèque de ses dogmes p. 170
- irrationalité théologique du Dieu d’Abraham p.172
C. – sa rationalité véritable : l’essence purement politique de l’islam p.174
3èmesect. Sous le masque de la contemplation : l’action prédatrice p.178
A.- une idéologie de l’action perfide s’est emparée de l’idéal de la connaissance pure
B.- la méthode intellectuelle pratique p. 181
C.- les fruits : le cancer récidivant des gnoses p.183
10°Ch. LA CIVILISATION - TROIS RESSENTIMENTS BARBARES p. 188
1èresect. Des hommes recréés en « créateurs de civilisation » p.189
A.- genèse par « inculturation »
B.- évolution par cycles p. 191
C – les valeurs créatrices à l’œuvre
2èmesect. Caïn l’idéologue à l’assaut de la création humainep. 194
- le mythe de l’égalité concrète des individus
- la chimère du plaisir détruit l’éthique p.197
- la légende de l’autonomie individuelle annihile la libération de l’homme
- un désaveu de paternité à la mesure du désastre p.198
3èmesect. L’appel au suicide de l’islam p. 199
A.- Les ingrédients de la boîte de Pandore
B.– la pétrification sans fin de l’armée du conquérant victime de Méduse p.202
C.- Encore et toujours le Sisyphe musulman revêt sa tunique de Nessus p.206
4èmesect. Plans occultistes pour un monde post-humain. P. 209
A.- les analyses fallacieusement unifiantes des princes de ce monde
B.- l’arme idéologique du « divin » p.210
C.- l’arme du Janus politique p. 152
D.- l’arme cléricale « l’unité du genre humain » p.211
E.- des livres sacrés, mais relatifs p. 214
11° Ch. QUEL DIEU POUR VIVRE ? p.216
1èresect. l’homme sans Dieu p. 217
A.- un homme qui se prétend seul dans l’univers
B.- le roc du réel : l’homme veut être Dieu p.219
C.- les corollaires existentiels
D.- la dernière issue : subir la passion absurde p.222
2èmesect. Face à Dieu, mais loin de Jésus p.224
A.- l’épreuve des faits : la vie mendie un sens
B.- l’émission de la solution chrétienne ses conditions de réception p.225
C.- l’adhésion chrétienne : sagesse humaine ou fait expérimental ?
D. le christ métamorphose l’homme : les conditions nécessaires p.228
3èmesect. L’homme avec Jésus. p. 230
A.- « ce qui est mal à tes yeux je l’ai fait »
B.- éprouver son destin d’homme pardonné p.233
C. – la joie de la certitude de la libération p.234
12° Ch. QUAND LA METAPHYSIQUE TIENT L’HISTOIRE EN L’ETAT : L’EXEGESE p.238
1èresect. Le regard limité de Parménide sur l’exégèse p. 238
A.- une métaphysique qui exclut un réel difficilement compréhensible
B.- un document trop encombrant pour cette métaphysique p. 241
2èmesect. « Le rideau de fer entre les masses et les faits » ou une subversion riche en méthodes. p.245
A.- la chape de plomb négationniste
B.- le château de cartes révisionniste p.249
C.- le conte de fée de la déréalisation p.252
3èmesect. Une exégèse réaliste pour une création objectivep. 257
A. insertion historique de l’ «information» du Dieu de Jésus
B.- une création appelle à une métaphysique réaliste. P.259
C.- elle requiert une histoire objective
D.- une exégèse non conformiste est donc indispensable p.262
13° Ch. LES PROCES VERBAUX DE LA NOUVELLE CREATION p.267
1èresect. Les caractères d’un procès-verbal ?
A.- cette rédaction à qualifier.
B.- lever les hypothèques sur ces écrits, leurs auteurs et leur but p.269
C.- des diagnostics n’esquivant pas l’objectivité
2èmesect. Une rédaction fidèle à l’esprit du procès verbalp.280
A.- discerner l’intelligibilité d’indices méconnus
B.- une âme de déposition publique p. 276
3èmesect. La signature sacerdotale de Jean. p. 280
A.- un procès-verbal de l’heureuse annonce à la loupe.
B.- hypothèse d’un rapport spécifique p. 282
C.- confirmation par un style spécial p. 285
14° ch. L’INTELLIGENCE EMBRASEE DE CERTITUDE p. 291
1èresect. Une croyance hébraïque du 1ers., mais laquelle ?
A.- «infantulus» ou la sécurité de la loi .
B.- «infans » ou l’orgueil de la morale p. 295
C.- «adulescens» ou le passe droit du sentiment p.298
le règne de l’adhésion passionnée
la royauté de l’individu religieux p.300
le royaume fabuleux de la spontanéité
D.- «vir» ou la libération de la volonté p.303
2èmesect. L’illusionniste émergence d’un milieu alternatif p.308
A.– un berceau sectaire mais une personnalité faisant irruption
B.- des motifs de genèse empruntés chez un Morphée pédant et anachronique p. 309
- la conviction des évangélistes
- préciser la tactique désinformatrice du « kérygme » p.311
- après l’apparition du jumeau « kérygmatique » : naissance ex nihilo d’une capricieuse Didachép.312
C.– une anthropologie trop cohérente p. 313
D.– l’incontournable enjeu humain et social p.316
E.– le terrorisme impuissant de l’idée p.318
F.- le défi d’un réel scandaleux p.319
15° ch. LA VOLONTE ENFLAMMEE PAR L’EVIDENCE p.322
à l’aube de la relevée des morts de Jésus
1èresect. Il s’est relevé dans des splendeurs d’aurore : p.323
A.- candeur resplendissante de ces péripéties
B.- illuminer des desseins imprévus p. 325
C.- « ô flamme par amour vive » p.329
2èmesect. Ils se sont terrés au couchant de la véritép. 333
A.- l’enjeu obscurci de la compréhension.
B.- sombres jeux idéologiques scindant ’un événement unique p.335
C.- le crépuscule du banal vide d’un tombeau.
D. - les ténèbres du pathos hallucinatoire p. 339
3èmesect. Ils sont confondus par le soleil de justice en plein midip.342
A.- l’intelligence sollicitée contre toute attente.
B.- « vanitas vanitatum et omnia vanitas » p.345
C.- implication sociales.
16èmeCh. AMES RAVIVEES EN UN FEU CONSUMANT p.350
alors que le génie aurait plané sur l’agora de Corinthe…
1èresect. Folklore païen ou certificateurs chrétiensp.352
A.- le folklore, culture multiple et variée
B.– un folklore hébreu et pagano- hébreu ? p. 353
C.- une primitive communauté nazaréenne
D.- une seconde communauté hellénisée, p.357
E.- la synthèse délirante en une communauté devenue « créatrice »
2èmesect. Obstacles intrinsèques au folklore païen p. 361
A.- récapitulation de l’enjeu
B.- un faisceau d’indices culturels rebelles p.363
3èmesect. Démentis opposés par l’expérience ecclésiale p.365
A. – une biographie historique à reproduire par le disciple
B. – distinguer l’œuvre de ses outils littéraires p.368
C.- la compétition ne suscite pas la complémentarité littéraire p. 369
17èmeCh. UN PERPETUEL BUISSON ARDENT p.373
contre le ridicule darwinisme de croyances
1èresect. Un évolutionnisme chrétien p.373
A.- démontage de cette hypothèse
B.- conséquences miraculeuses qui en auraient découlé p.377
C.- l’- illustration contemporaine de l’absurdité des thèses savantes p.379
2èmesect. L’évanescent costume d’Arlequin hébréo païenp. 381
A.- la confusion sémantique élevée à la dignité de système.
B.- les indices d’une constante judéenne du 1ers. p. 285
C.- un monceau d’oripeaux purifiant mille aspirations Une impossible bigarrure hébréo-païenne p.287
Conclusion : un cas de solipsisme littéraire
Schéma du DDT et DDH p.393
4èmepartie DE RIDICULES, INUTILES, OU SURANNEES ALTERNATIVES : p.394
18° Ch. LE GROTESQUE DE L’APOCALYPSE p. 396
1ièresect. Une doctrine magique et marginale
A.- une superstition hérétique universelle
B.- les textes sont anti-millénaristes p.400
2èmesect. Cette baguette magique aurait fait « émerger ».p.404
A.- démasquons l’hypothèse doctrinaire d’une mentalité eschatologique
B.- la reconstruction pathologique p.406
C.- l’envers du décor, p.409
3èmesect. Evidences rationnelles a posteriori p.411
A.- si le monde avait surgi du néant, il aurait du retourner au néant
B.- une application du mythe du darwinisme des croyances
D.- Jésus forme à une programmation créatrice. Il ne délivre pas un message créé.
E.- la vaine explication historique p.416
19° Ch. ILS ONT FAIT ECHOUER LA FIN DU MONDEp.417
1èresect. Une matrice messianique aussi politique qu’illusoire. P.417
La vie publique de Jésus (30-33)
2èmesect. Un messianisme rétréci à un millénarisme fantasmatiquep.420
A.- le messianisme original aurait été un millénarisme
B.- des fondateurs incompétentsp.421
C.- élaboration d’un messie médiocre
D.- la survie exceptionnelle d’une communauté à son gourou p.422
3èmesect. « le vicaire savoyard » déifié in extremis p.423
(vers 70-120)
A.- l’extrême sophistication d’un « christ » sous Domitien p.424
B.- une invraisemblable exception à la rigidité de la discipline sectaire
C.- la doctrine originaire ne serait pas demeurée immuable ?p.427
4èmesect. La survie miraculeuse d’une secte p.427
A.- malgré son inorganisation structurelle
B. – malgré des méthodes auto-destructrices d’apostolat p.428
C. – et une rédaction sous forme d’attestation de faits historiques
20° Ch. LE CANCER ESOTERIQUE ATTAQUE JESUS p.432
1èresect. l’hydre logicienne voudrait étouffer le roc existentiel de Jésus
A.- l’origine de l’ « hybris gnôsis »
B.- la conception opposée du temps p.434
C.- l’ « étant », l’essence, et la création
D.- la réalisation métaphysiquep.436
2èmesect. L’ivraie cultivée dans le champ du Seigneur p.437
du registre
la racine du possible infini
la connaissance
les symboles
l’initiation
3èmesect. Stratégie de contamination p.441
4èmesect. Indices agnostiques des évangilesp.445
21° Ch. LE DESENCHANTEUR CHRETIENp.449
ou un christ agnostique
1èresect. La quête d’un sens existentiel
A.- le labyrinthe primitif .
B.- la perspective vertigineuse de Jésus p.451
C.- la régression ésotérique
«solve» : dissoudre la Tradition
« et coagula» : parodier par des tabous archaïques
2èmesect. De Narcisse à la Personne humaine p.459
A.- autres tentatives primitives
B. Jésus sacre la personne p.460
C.- Jésus bénit la « personne » pauvre
et renvoie l’ « individu » riche les mains vides p.463
22° Ch. LA THESE DU POUVOIR : UN FILON USEp.465
1èresect. La toile de Pénélope dune fabrication politique
A.- l’enjeu : manigancer une explication plausible
B.- le Christ de la Foi n’est que le Jésus de l’histoire p.467
C.- aspects historiques,
D.- la robe sans couture du Christ , p.469
2èmesect. Un sinistre bouffon du roi : p.473
A.- le diagnostic politique discrétionnaire
B.- la comparution à l’instance négationniste p.476
C.- « divinisation » ou consécration du mythe savant p.478
3èmesect. La tunique de Nessus pour une manipulationp.481
A.- impressions immarcescibles tirées de la lecture des évangiles
B.- un 2èmejugement incorrectement opératoire p.482
C.- une 3èmequalification: le «contrat de révélation d’adoption»
D.- Si on admet l’événement hors du commun p.484
23èmech. DES CHOSES INDICIBLES UN LIVRE DEFAILLANT p.486
1èresect. Déceler l’inexprimable dans un océan d’évidences littéraires
A.-au sein d’un flot de poncifs littéraires
B. – « on n’interroge plus la vie dans les laboratoires » p.490
C.- l’agrégat artificiel des pseudo-particules élémentaires p.493
2èmesect. Qu’il convient de limiter l’analyse aux seuls constituants p.495
A.- certaines résistance novatrices
B.- un départ rigoureux entre les éléments composant l’objet p.495
C.- inversion du domaine de l’originalité
3èmesect. La recomposition de l’organismep.498
A.- replâtrer et égarer ?
B.- il est préférable de synthétiser et d’assimiler p.500
5èmePARTIE D AVEUGLANTES COHERENCES p.504
24èmech. LES ANCETRES HEBREUX DE JESUS p.506
1èresect. Hébraïsme entre légende et réalité p.507
A.-Jésus ou le nouvel Abel déchu en parricide d’un ancien Caïn p.509
il n’est pas une dégradation théologique du judaïsme
la théologie juive n’a pas été atrophiée en une éthique incapable
Jésus n’abolit pas la norme de Dieu il la greffe en l’homme p.509
Partager la certitude revient à partager le bien
Jésus assume la mort et les contingences humaines p.512
Une rédemption intériorisée conduit à une morale créatrice
B.-marqueurs hébreux du sondage culturel p.515
un plan de coupe de souche hébraïque
la contre-épreuve : le plan de coupe de souche grecque p.517
application pratiques monde et humilité
2èmesection le cœur conceptuel de l’hébraïsme : Jésus encadré du flambeau normatif de Moïse et du flambeau spirituel d’Eliep.521
A.- La « religion ouverte » du flambeau des prophètesp.521
la personne de Jésus vérifie le contenue ontologique de sa parole
savoir discerner dans la vie de Jésus les effets de cette réalité p.522
- le royaume de Dieu est au-dedans de vous p.524
B.- la « religion close » transfigurée du flambeau de Moïse p.525
- Jésus s’inscrit dans le double repère de Moïse : loi écrite loi orale
- Jésus ou torah une identique interprétation plurielle rempart d’une idolâtrie
- Si le juif accomplit des rites : quid de Jésus p.529
- L’identité de Dieu un questionnement subsidiaire p.531
- Tableau des généalogies spirituelles p.537
25èmech. «DEUS ABSONDITUS UNITATUS ABSCONDITO HOMO»p.538
1èresect. Dieu un homme : un même incognito P.538
A.- le Dieu caché absorbe l’humanité de Jésus
perception d’un statut insolite
ambivalence du jugement intime P.539
causes de la force de Jésus P.540
cet inconnu inspire une joie de certitude rayonnante p.452
B.- Jésus greffe en l’homme une certitude agissante p.544
-la liberté morale est fille de la vérité historique elle même issue du bien
-elle annonce une métaphysique incognito de l’amour objectif p.546
-un don silencieux à conquérir
2èmesect. Les données se fondent aux impressions p.548
A– double préalable : matériel et intellectuel
une perception de Jésus conforme aux récits des évangiles hébraïques
Son profil répond à la quête silencieuse de notre cœur
B. – ratification des certificateurs p.552
notre regard sur Jésus conforte ce qu’on attesté ses disciples
une vision rejointe par les données sociologiques
la stature de Jésus illustre ce qu’en éprouvent les contemplatifs p.555
26èmech. L’ETINCELLE INCANDESCENTE p.557
1èresect. Des scintillements de l’Incarnation p.560
A. – La certitude du Carmel dévoile celle des évangélistes
B. – la brûlure d’un événement intérieur : Jésus p. 562
C.- une douce emprise par l’énergie créatrice de l‘Esprit p.565
2èmesect. La blessure ardente et lumineuse de L’Esprit d’Amour p.567
A.- les marques de son emprise
(éclaircissements des docteurs du Carmel)
B.- Il décrypte l’aura réactualisée de Jésus sur ses disciples p.569
C.- il est démontré par les actes de paternité divine, p.571
3èmesect. Il engendre un nouveau christ p.573
A. – la capture: l’ « arredamento a cielo »
B. – les filons trinitaires recelés dans les évangiles p.575
C. - fruits de la certitude d’amour p.578
Schéma de la compénétration johannique du DDT et DDHp.584
27èmech. AGNEAU DE DIEU ET MEUTE HUMAINE p.585
1ièresect. Le théâtre souterrain de la violence P.585
A.- la fureur du désir mimétique
B.- Jésus en détient la clé surnaturelle p.589
C. le sacré est peuplé de boucs émissaires
2èmeJésus rompt le cercle maléfiquep.591
A.- il libère de ce désir
B.- car il plaide contre l’Accusateur Satan,.P.592
C.- Sa Passion implante le sacré dans le cœur humain, p.594
3èmesect. L’exception culturelle de Jésus p.595
A.- historicité de son innocence
B.- ressuscité et innocent : une même attestation.p.596
C.- du surnaturel à l’humain, via un nouveau sacré, p.598
28èmech. DES SOLDATS DU CHRIST PAR MILLIONS p.600
1èresect. Une démonstration historique opaque et éblouissante
à la fois p.601
A.- elle revendique la rigueur d’une démonstration scientifique
B.- elle ne sert pas des fins tactiques : Une preuve en voie de transparence p.604
C.- elle convainc par la démonstration
D.- elle n’exprime pas une opinion individuellep.607
2èmesect. Une preuve en voie de transparence p.608
A.- les experts sont objectifs
B.- des millions de Christs, reproduisent les traits objectifs de Jésus :p.610
les Pères du désert
la spiritualité rhénane p.611
Jean et Thérèse un paradigme de la Contre-Réforme
Ils sont propriétaires de Dieu ! p.614
C.- l’écrit, preuve objective par excellence p.615
3èmesect. Une présomption translucide nécessaire et suffisante p.616
A.- Sa portée ,
B.- Elle est translucide p.618
C.- Elle maintient l’aspect d’ une fiction historique,
D.- elle désigne un vide empli de vraisemblancep.619
Conclusion p.623
***********
BIBLIOGRAPHIE SOMMAIRE
--------------------
Figurent les ouvrages et articles essentiels qui ont été utilisés directement par l’auteur; la plupart d’entre eux comportent une bibliographie savante et exhaustive.
HISTOIRE
Jean Botero, Mésopotamie, l’écriture, la raison, et les dieux, Gallimard, 1997.
Bruit-ZaidmanetSchmidt-Pantel, La religion grecque dans les cités à l‘époque classique, Armand Colin.
Daniel-Rops, Jésus en son temps,Arthème Fayard, 1944.
Pierre Marion, Jésus et la Science, Presses de la Renaissance.
J.A.T. Robinson, Redater le nouveau testament, traduction française 1983
Peter-Carsten Thiede, et D’Ancona, Témoin de Jésus, (R. Laffont 1996)
PHILOLOGIE
Jean Carmignac Jean, l’ origine des évangiles synoptiques,
Jean Carmignac Jean, le mirage de l Eschatologie, Letouzey,
Carmignac Jean, recherches sur le notre père,
Claude Tresmontant, Evangile de Matthieu, traductions et notes
(Editions Œil )
Claude Tresmontant, Evangile de Jean, traduction et notes
(Editions Œil)
Claude Tresmontant, Evangile de Marc, traduction et notes
(Editions Œil)
Claude Tresmontant, Evangile de Luc, traduction et notes
EXEGESE HISTORIQUE ET PHILOLOGIQUE:
Jacqueline Genot-Bismuth, Un homme nommé Salut, ŒIL, 1984.
Jacqueline Genot-Bismuth, Jérusalem ressuscitéeŒil,.
Claude Tresmontant, Ieschoua de Nazareth, 1971
Connaissances des religions, revue trimestrielle sur la gnose, coédition avec l’Harmattan, notammentN° 57-58-59 janv. sept. 1999
René Girard, Des choses cachées depuis la fondation du monde.
René Girard, Vérité romantique mensonge romanesque(Grasset, )
François Grégoire, les grands problèmes métaphysiques, (P.U.F)
François Grégoire, l’au-delà(P.U.F.)
Karl Jaspers, introduction à la philosophie
Régis Jolivet, Aux sources de l’existentialisme chrétien, Kierkegaard, Paris, Fayard, 1958,
Gilles Lipovetsky, l’ère du vide, Gallimard, 1983.
Jacques Maritain, Le Docteur Angélique. [St Thomas] Paris, DDB, 1936.
Pascal Blaise, les Pensées, notes J.Chevalier, préface Jean Guitton, Gallimard 1936,
Claude Tresmontant, Premiers éléments de théologie
EXEGESE LITTERAIRE
Elie Benamozegh Elie, morale juive et morale chrétienne, IN PRESS, lettres promises 2000(contra)
Rudolph Bultmann, L'histoire de la tradition synoptique, Seuil, 1973 (1ièreédition allemande, 1921, mise à jour en 1971) (contra) « Ce dogme [priorité de la priorité de Marc] étant erroné, toute la construction s'écroule » (Ph. Rolland)
Marie-Christine Cerutti Cendrier, Les Evangile sont des reportages (Téqui, 1998)
François Goguel, Fondements historiques et psychologiques de la foi en la résurrection de Jésus, 1935 (Contra)
René Laurentin, Les Evangiles de l’Enfance,
François Le Quéré, Recherches sur Saint Jean (F.-X. de Guibert)
Ernest Renan, la vie de Jésus (contra)
Mgr Guiseppe Riciotti, Vie de Notre Seigneur Jésus Christ(en italien)
Philippe Rolland, Les premiers évangiles. Un nouveau regard sur le problème synoptique, Cerf, Paris, 1984
Philippe Rolland, la Tradition apostolique
SPIRITALITE CHRETIENNE ET APOLOGETIQUE
Beatrick Pierre, Introduction aux Pères de l'Eglise, Mediaspaul/ Editions paulines/ Institut St-Gaëtan, 1987.
Jean Guitton, Jésus, Grasset.
L’Imitation de Jésus-Christ, commentaire de F.de Lammenais, .
St Irénée de Lyon, contre toutes les hérésies, édition
St Jean de la Croix (notamment) Vive Flamme, Cantiques spirituels, La montée du Carmel, in Oeuvres complètes. Traduction par Lucien-Marie de Saint-Joseph. Desclée de Brouwer, 1967,
R.P. Réginald Garrigou-Lagrange, OP, Perfection chrétienne et contemplation selon S. Thomas d'Aquin et S. Jean de la Croix, .Desclée, Paris 1923.
M. Lépée, Sainte Thérèse d'Avila, le réalisme chrétien. Desclée de Brouwer, 1947.
R.P.Marie Eugène de l’EJ, OCD, Je veux voir Dieu,Editions du Carmel,
François Mauriac François, Souffrances et Bonheur du Chrétien, Grasset
Vittorio Messori, hypothèses sur Jésus, Traduction française, Mame.
Laperrousaz, E.M, « l’attente messianique dans les manuscrits de la mer morte », in « Qumaran et les manuscrits de la mer morte, un cinquantenaire », collectif dirigée par E.M. Laperrousaz , éditions du Cerf, 1997
Laperrousaz E.M. Le cadre chronologique de l’existence à Qumran , in l’ouvrage collectif précité
Lemaire André: « Quoumrân sa fonction et ses manuscrits » in Qumran et les manuscrits de la mer morte
Margain Jean, « l’hébreu à Qumran, » in livre collectif Qumrân et les manuscrits de la mer morte.
Laperrousaz E.M. Le cadre chronologique de l’existence à Qumran , ( in l’ouvrage collectif précité)
Puech Emile , « les manuscrits et le NT » in Qumran et les manuscrits de la mer morte
Puech Emile, « Les esséniens croyaient-ils à la résurrection ? » in Qumran et les manuscrits de la mer morte.
Stegeman Hartmut, «Le Rouleau du Temple un sixième livre de la tora perdu pendant deux mille cinq cents ans ? » in « l’aventure des manuscrits de la mer morte. » Contra
Van Derkam James C. « les adeptes des manuscrits de la mer morte : esséniens ou sadducéens ? » ; et « les manuscrits de la mer morte et le christianisme » ; in «L’ ‘aventure des manuscrits de la mer morte. »
Wise Michael, Martin Abegg, Edward Cook, les manuscrits de la mer morte, traduction française, 2001, Plon,
Yadin Yigael, le rouleau du Temple in l’«Aventure des Manuscrits de la mer morte. »
*******